Bourgeoisies d’Arnex-sur-Orbe plus récentes
Les Werren en 1844, venant de Diemtingen et repartis à Premier au siècle dernier.
Cette bourgeoisie discutée en Conseil général le 25 mars 1844 est acceptée par seulement 38 voix sur 62, la majorité étant de 33 voix.
Il en coûta 1800 francs à Pierre Werren (1795-1869) et à sa famille.
Depardon Louis, venu de Paris vers 1900 avec sa sœur Élise, est admis à la bourgeoisie en 1903 pour 600 fr.
Élise épousera Henri Devenoge (1877-1934)
Meanedjoglou : une demoiselle Gauthey Hélène Louise, née à Nernier en Haute Savoie, épouse un citoyen turc ; après le décès de son mari, elle demande à retrouver son lieu d’origine, ce qu’elle obtint par réintégration et décision du Conseil fédéral en 1910, malgré le peu d’enthousiasme des autorités municipales de l’époque…
Sans les citer toutes, notons encore quelques naturalisations plus récentes avec bourgeoisie d’Arnex :
Balladone, Gagliardini, Rascol, Ferrario, Paulet, Schönenberg, Astori, Bühlmann, Pellegri, Campanile, Boffa, Pacaux, Garic, etc
Il y aurait pu y avoir beaucoup plus de nouveaux bourgeois dans la commune d’Arnex, mais de nombreuses demandes furent refusées par les autorités, ces dernières craignant devoir un jour assister ces personnes, comme c’était le cas à l’époque.
Note.
Cet article clôt la série consacrée aux familles bourgeoises du village d’Arnex-sur-Orbe
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