Les taupiers
La fonction de taupier est fort ancienne et les candidats se présentent très nombreux à chaque mise au concours du poste.
Prenons les comptes de 1738.
On y apprend que Jean Michel Gauthey reçoit neuf batz pour acheter ¼ de livre de fil de laiton afin de confectionner des lacets pour attraper les taupes.
Mais, comme il décède en fonction le 28 août, après avoir attrapé 142 taupes, sa veuve reçoit un batz par bête pour la moitié, et un sol la pièce pour le reste.
Cela ne suffit pas pour payer le cercueil, car quelques lignes plus loin, il est noté que Maître François Barrillier reçoit 5 florins pour la bière à Jean Michel Gauthey par ordre du Conseil.
Certains taupiers forts habiles en attraperont près de 1500 par an.
Mais en 1777, dans son commentaire sur les comptes d’Arnex, Monsieur le Bailli Samuel Jenner note.
« Nous avons observé à la page 7 des livrances un article de 366 florins, 7 batz et 6 sols payé par la commune pour la prise des taupes sur le fond des particuliers, ce qui est abus intolérable, en sorte que nous défendons à la dite commune de supporter cette dépense à l’avenir, mais de retirer des propriétaires pour répartition à proportion des fonds qu’ils possèdent le montant de la prise des taupes dans son territoire, comme il faudra le faire voir dans les reçus des comptes prochains, sans faute. »
En 1816, c’est le Juge de paix qui intervient lors de l’examen des comptes pour demander de ne plus payer un taupier à 120 fr. par an pour ne rien faire, mais à tant par bête ; et si la commune ne peut pas payer, il faut faire une répartition à tant par pose.
Ce qui fut fait plus tard, car il dans les archives est conservé le résumé cadastral établi pour servir de base aux contributions communales de taupage et messeillerie de 1881 à 1960.
En 1875, le Conseil demande une révision de la taxe cadastrale servant à répartir de manière plus équitable les frais de taupage et messeillerie
Certaines années, les comptes notent quelques achats d’arsenic pour empoisonner taupes et souris !
Différents taupiers de la commune :
1716
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Ax 6 21
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Paie du taupier Sébastian Devenoge pour 254 taupes à un sol par bête
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1738
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Ax 7 013
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achat d'un 1/4 de livre de laiton pour faire des lacets pour attraper les taupes
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1738
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Ax 7 21-22
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Salaire de Gauthey et facture de sa bière
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1740
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Ax 7 27
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Fil de laiton pour prendre les taupes
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1772
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Ax 9 09
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Salaire du taupier Gilliard : 222 fl pour une moitié à 1/2 batz et une moitié à 1 sol
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1774
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Ax 9 43
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Salaire du taupier Bally David de Boussens pour 1419 taupes
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1777
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Ax 9 48
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Le bailli dit que ce n'est pas à la commune de payer le taupier
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1816
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Ax 12 11
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Le juge de paix ne veut plus de taupier à fr 120,- par an pour ne rien faire, mais à tant par bête
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1819
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Ax 12 26
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achat d'arsenic donc les taupiers ne font rien dit le Juge de Paix
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1824
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Muni 158
Mieville |
Contrat du taupier
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1839
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Ax 15 24-25
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Pierre Gillard engagé comme taupier avec conditions et salaire
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du 1.1 1839 au 31 .12 1841
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1853
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Muni 3 13
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François de Louis Bovet Mauvais taupier renvoyé
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1854
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Muni 3 21
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11 candidats pour le poste
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Goy Abram de Vaulion pour fr 300.-
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1864
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Muni 3 129
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Contrat avec Pierre Gillard et emploi d'arsenic
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300.- par an
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1866
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Ax 18 21
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salaire taupier Pierrre Gillard fr 305.-
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1870
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Ax 19 05
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Ferdinand Baudat Taupier
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1872
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Muni 3 178
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Contrat du Taupier avec Alexandre Hautier de Juriens
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1873
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Muni 3 184
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Contrat taupier avec Reguin et Malherbe
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1875
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Nouveau règlement
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1878
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Ax 20 89-90
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Plainte contre les taupiers et taxation des dommages
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Muni 3 256
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1878
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Muni 3 258
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En décembre on remet au concours la place de taupier
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Jean Ramel pour fr 360.-
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1881
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Muni 3 258
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Contrat avec Crausaz Jules pour fr 306.-
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1882
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Muni 3 286
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Auberson Taupier pour fr. 370.-
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1885
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Muni 3 325
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Auberson continue pour fr 360.-
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1886
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Muni 3 336
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Contrat avec Jaton Jean Victor d'Orbe pour fr 410.-
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1888
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Muni 3 359
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Auguste Agassis pour fr 410.-
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1889
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Muni 3 368
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Contrat pour 400fr avec MM. Malherbe Louis et François
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1891
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Muni 3 410
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Contrat pour fr 400.- avec Dupuis Jules feu Jean Pierre doit signer son carnet
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1893
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Muni 3 421
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Amende de fr 6.- à toute personne qui dérange les trappes du taupier
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1893
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Muni 3 430
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Les frais de taupage passent de 2c à 1 ct l'are
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1894
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Muni 3 435
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Thibaud Henri La Praz pour 450.- par an
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1894
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Muni 3 463
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Cahier des charges de Thibaud
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1896
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Muni 4 35
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Contrat avec Ecuyer d'Envy rompu en juillet suite aux plaintes de nbr propriétaires
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Remplacé par Thibaud de la Praz
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1897
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Muni 4 41
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Cahier des charges de Thibaud Henri
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1898
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Muni 4 72
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Cahier des charges de Thibaud Henri de La Praz pour 480.-
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1918
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Muni 6 216
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Contrat avec Moret Eugène taupier Eclépens
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1946
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Muni 13 02
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Robert Desponds pour 50 ct la bête
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Jaquier dès 1946 en tous cas, confirmé en 1947 Muni 13 118
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1949
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Muni 14 09
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Alexis Jaquier de Chavornay pour fr 0.50 la bête noire ou grise
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et encore en 1950
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La fonction de taupier
Dès 1700, le salaire des taupiers figure dans les dépenses des comptes communaux,.
Certains d’entre eux habitent le village, mais un grand nombre viennent d’ailleurs : Chavornay, Envy, La Praz, Orbe, Vaulion.
Un poste souvent fort recherché, ainsi pour 1854 onze candidats font des offres.
Au cours des ans, le mode de rémunération varie, certains sont payés à la pièce, d’autres par un forfait annuel.
Vers 1880 le salaire annuel est de 380.- à fr. 400.-.
En 1946, Robert Desponds touche 50 ct par bête, (tout comme le soussigné dix ans plus tard)
Mais ne donnant pas toujours satisfaction, le taupier communal pouvait être démis de sa fonction comme le stipule le point 3 du contrat de 1878 ci-dessous
Contrat du taupier Jean Ramel en 1878
Qui doit payer le taupier ?
Les taupiers ont toujours été engagés par la commune, mais en 1777 déjà, le bailli de Romainmôtier chargé de la révision des comptes signale que ce n’est pas à la commune d’assumer ces charges, le Juge de paix fait la même observation en 1816.
Finalement en 1881 ces frais seront répartis entre les divers propriétaires en fonction de la surface cultivée.
Les moyens de lutte.
Avant les trappes classiques d’aujourd’hui …
Trappe à taupes
… mais les comptes signalentaussi l’achat de fil de laiton pour confectionner de petits lacets placés dans les trous et même de l’arsenic si nécessaire …
Ce qui put poser problème.
On dit même qu’en 1868, Héli Freymond de Corrençon réussit à empoisonner sa femme avec de l’arsenic acheté au taupier du coin !
Devenant ainsi le dernier condamné à mort du canton !
Et pour terminer, voici une prise exotique un peu bizarre...
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